La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1476)

La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1471) -

La soirée était terminée… Ainsi la semaine s'écoulait et Monsieur le Marquis d'Evans poursuivait quotidiennement le dressage destiné à parfaire ma condition d'esclave. Sous la main de fer du Maître, j'alternais tâches domestiques, services sexuels et situations de contrainte diverses, en cage ou sur le tabouret-gode... Mais le jeune Châtelain avait aussi la Volonté d'approfondir Sa relation avec la jolie voisine de pallier, Chloé. Celle-ci l'avait rappelé dès le lendemain mais Edouard d'Evans n'avait pas, volontairement, répondu tout de suite. Il avait laissé s'écouler deux journées entières ainsi que les messages s'accumuler sur son répondeur avant de recontacter la charmante voisine avide de Le retrouver après sa délicieuse expérience de la première rencontre (voir l’épisode précédent)... Le jeune Noble lui avait alors fait la leçon, lui précisant que désormais Il ne tolérerait plus une telle attitude. Il entendait mener les choses au rythme qu'Il avait décidé et elle devrait céder, apprendre à patienter Son bon Vouloir et s'y plier... ou renoncer. J'avais pu voir, bien que très affairé à quelques tâches ménagères, la satisfaction sur le visage du Maître, lorsqu'à l'autre bout du fil, Chloé s'était confondue en mille excuses et avait demandé pardon, promettant qu'elle saurait désormais freiner son impatience et se tiendrait à la disposition du jeune Marquis uniquement lorsqu'Il jugerait le moment venu...

Le soir même, ayant entendu l'ascenseur, puis la porte de l'appartement voisin s'ouvrir et se fermer, le Maitre composa le numéro de Sa voisine et lui adressa un laconique et impératif "Tu viens... Maintenant !". Chloé ne perdit pas un instant et, Monsieur le Marquis me fit signe d'arrêter mon activité pour aller ouvrir la porte dont la sonnette venait de retentir. J'ouvrais et me trouvais devant une Chloé portant toujours le tailleur sobre et élégant qu'elle avait dû porter au travail.

Naturellement, je m'effaçais humblement devant elle et elle pénétra dans l'appartement, se dirigeant l'air fortement ému vers le salon où le Maitre se tenait debout, près de la table basse centrale. Tandis que la jeune femme s'approchait du jeune Châtelain, j'allais me placer en silence dans un coin de la pièce, agenouillé sans que mes fesses ne touchent mes talons, le buste bien droit, mains jointes derrière la nuque. Si le Maître décidait d'user de mes services, je serai ainsi immédiatement à disposition, mais ce qui se passait entre Lui et la voisine n'impliquait en aucune façon, pour l'instant, que j'y fus mêlé. J’entendais et imaginais, cependant... Arrivée devant le jeune Noble, Chloé s'était arrêtée et se tenait immobile devant Lui, un peu gauche, baissant la tête et intimidée malgré la différence d'âge qui faisait d'elle l'aînée de 15 ans (35 ans pour Chloé et 20 ans pour le Maître)... Cette tête baissée exprimait visiblement une position de soumission, voire un aveu à devenir soumise de la part de la jeune femme, ce qui n’échappa pas à Monsieur le Marquis qui alors plaça un doigt sous son menton. Et Il lui fit redresser la tête, plongeant Son regard flamboyant d’un lumineux bleu azur hypnotique et profond dans les magnifiques yeux de Chloé :

- Il va falloir que je t'apprenne certaines règles. Si tu espères pouvoir évoluer dans Mon sillage, tu dois apprendre à te comporter de façon correcte. La première de celles-ci étant que c'est Moi et Moi Seul qui décide et que toi, tu te tiens à Ma disposition. Est-ce bien clair ? C’est donc quand Je veux, ou Je veux, et comme Je veux…
- Oui répondit-elle dans un souffle, oui...
- Oui qui ? … Pour le moment, tu M’appelleras Monsieur…, suis-je clair ?
- Oui Monsieur
- Bien, puisque ceci est clair, nous allons pouvoir progresser. Et tout d'abord, mets-toi donc à l'aise pour la suite... Pose ta veste et ta jupe que je puisse mieux te voir …

Sans hésiter, Chloé se défit des vêtements cités, se tenant en chemisier mais sans soutien-gorge, bas, string et porte-jarretelle devant Le Maître qui prit un peu de recul afin de la contempler d’un regard Dominant …

- Je constate avec plaisir que tu retiens les leçons.
Tu es bien plus agréable à regarder ainsi.

S'approchant, il passa sa main entre les cuisses de la jeune femme, qui se tenait immobile, mains jointes dans le dos, sa respiration accélérée soulevant sa poitrine nue sous le chemisier. La main du Châtelain poursuivait son intrusion, s'immisçant sous la fine étoffe afin de caresser la toison parfaitement entretenue et de glisser un doigt dans la chatte déjà bien humide... "Agréable", commenta le Maitre humant Ses doigts enduits de cyprine qu'il fit lécher à la belle Chloé. Puis, Il défit la stricte queue de cheval que Chloé arborait en permanence, afin de libérer son épaisse chevelure auburn. Cette belle jeune femme, fière et si stricte s'abandonnait ainsi totalement à l'Emprise de ce jeune homme qui la manipulait comme jamais aucun autre homme ne l'avait fait. Comme jamais elle ne l'aurait toléré... Et pourtant, face à ce jeune Dominant si sûr de Lui, si naturellement Supérieur, d’un Charisme hors norme, elle ne pouvait que céder, que se laisser guider, façonner... et ses réactions les plus intimes ne pouvaient que confirmer ce ressenti qui la gagnait un peu plus chaque jour, car depuis la première rencontre, elle ne désirait qu'une chose, être soumise à Lui !

Monsieur le Marquis s'était encore rapproché, gardant une main entre ses cuisses, de l'autre caressant ses seins palpitants, quand il en attrapa un téton rosé et dressé. Le Noble s’attarda sur ce dernier, le pinça d’une forte pression, ce qui fit grimacer la belle par une petite douleur excitante lui faisant fermer les yeux quelque instant dans une brève respiration accentuée. Ensuite, Il fit rouler ce téton si sensible et si réceptif entre Ses doigts, pour le tirer en avant et fit de même avec le deuxième... Puis Ses doigts malaxèrent le sein à pleine main, passant de l’un à l’autre… En effleurant ainsi chaque parcelle de son corps, en la menant subtilement vers un désir toujours plus exacerbé, la jeune femme savait que cet homme s'emparait d'elle, non seulement de son corps, déjà conquis, mais aussi de la citadelle qu'elle eut crue plus résistante dans son esprit.
Ce n'était pas sans crainte, mais aussi brûlante de désirs qu'elle s'offrait ainsi, prête à tant de choses qu'elle n'osait même pas imaginer… Pourtant, le Noble cessa ses attouchements, la laissant haletante, si humide et pantelante… Il s'écarta d'elle et s'éloigna un bref instant, revenant vers Sa conquête en brandissant un drôle d'instrument…

- Ceci s'appelle un paddle; dit-il en brandissant cet objet devant elle.

Cet objet, justement, était quelque chose qui tenait à la fois de la raquette et de la batte de cricket, mais en plus petit. C’était noir, dans une texture qui semblait plutôt douce et souple. Monsieur le Marquis fit doucement glisser l'instrument sur la belle croupe arrondie et charnue de Chloé qui frémit sous les caresses de l’instrument.

- Mais cela n'est pas pour toi, enfin... pas encore tout au moins… Pour l'instant, je veux tester quelque chose avec toi. Es-tu prête à m'obéir, à me faire confiance ?
- Oui Monsieur, affirma-telle
- Bien, alors tiens cela et suis moi, dit le jeune Châtelain en lui tendant le paddle...

Le Maître claqua des doigts, me faisant comprendre que je devais quitter ma position au coin et me rapprocher vers Lui, ce que je fis naturellement à quatre pattes, jusqu'à venir me prosterner à Ses Pieds... Posant un pied sur ma nuque servile, le Noble expliqua à la belle Chloé :

- Voici sur quoi tu vas pouvoir exprimer ta capacité à te comporter de façon implacable et à administrer ce que l’on appelle une bonne correction. Tu vas me montrer sur cet esclave de quoi tu es capable. Je veux voir s'exprimer une femme forte, qui affirme sa puissance en l'exerçant sur cette créature inférieure. Car c'est sur cette puissance exprimée que je veux établir Mon Autorité. Je ne veux pas que tu sois juste passive et docile, je veux sentir que tu te résignes devant Moi à faire taire ta fierté afin de Me plaire et de Me satisfaire...
- Mais euh, je …, hésitait Chloé. … Je n'ai jamais… euh.
.. cela va lui faire mal …?
- Peu importe très chère. Un esclave est là pour être l'instrument de notre satisfaction. Naturellement, il convient de préserver sa santé et de ne jamais le mettre en danger. Mais au-delà de ces précautions élémentaires, nous le disposons à notre guise, comme de tout ce qui nous appartient. Allons assez tergiversé ! Je vais l'installer et nous allons voir un peu ta dextérité...

Ainsi, je fus installé dans la salle où trônait la cage qui servait à me garder. Penché en avant, et Le Maître me fit mordre dans un mors de caoutchouc noir, tenu en place par une sangle passant sur ma nuque. Mes fesses étaient ainsi parfaitement offertes, idéalement accessibles à toute forme de cinglante correction.

- Ce mors va faire office de bâillon, ainsi nous ne serons pas importunés par d'éventuelles plaintes. Bien sûr, l'esclave est dressé à garder le silence malgré l'intensité des corrections infligées. Mais on ne peut espérer de perfection de la part d'une telle chose. Aussi je préfère prendre quelques précautions afin que nous puissions nous concentrer sur ta pratique. Par ailleurs, simple détail, mais ce genre de mors fait souvent fortement baver l'esclave et j'apprécie assez de voir jusqu'à quel point une telle chose peut manquer de dignité, de le lui faire ressentir, afin que jamais il n'oublie ce qu'il est et quelle est sa place. Mais n'attendons pas plus... Tu tiens donc un paddle, et je veux te voir t'en servir... J'attends !

Non sans quelque gaucherie, imaginais-je puisque mon humiliante position ne me permettait pas de voir ce qui se passait derrière moi… Chloé abattit une première fois le paddle sur mes fesses. Sans grand effet, je dois l'avouer. Les quelques coups qui suivirent n'avaient guère plus de force. Et par comparaison à ce que j’avais l’habitude de recevoir, cela relevait plus de la caresse !

- Stop ! lança Le Maitre. Cela suffit. Tu ne sais vraiment pas t'y prendre. Je t'ai dit d'oublier toute forme de timidité ou d'empathie avec la chose qui reçoit; Tu dois laisser s'exprimer ta nature profonde. Je suis persuadé que tu as parfois envie de frapper tes collaborateurs. De pouvoir les fouetter pour qu'ils soient plus efficaces. Eh bien tu y es ! Alors cesse de te comporter en Sainte-Nitouche ! Je veux entendre le claquement de l'engin sur son cul ! Je veux que tout son corps frémisse. Je veux voir rougir sa croupe, que tu la marques de ton passage. C'est compris ? Libères ta nature profonde, lâches-toi, sois telle une Amazone sans pitié !

‘Libères ta nature profonde’ Cette phrase résonnait dans ma tête. Je pensais que Chloé était plutôt d’une Nature soumise, alors que le Maître lui commandait de laisser exprimer une attitude d’une Nature plutôt dominante à me frapper le cul, alors j’avoue que j’étais peu perdu dans la compréhension de Son Exigence envers Chloé. Mais connaissant bien le Maître, je supposais qu’Il usait d’une stratégie pour amener la belle voisine dans des chemins diverses à des fins bien précis… Elle n'avait rien répondu, mais cette fois-ci je sentis vraiment le coup. Et le suivant, et aussi le suivant, plus encore. Sous les conseils du Maitre, qui lui indiquait fermeté et régularité, puissance mais retenue, Chloé abattait maintenant le paddle avec une redoutable efficacité. Et montait en moi le feu de cette cinglante correction. Je ne comptais pas les coups, Le Maître et Sa disciple non plus. Peu importait le nombre, ce que le jeune Châtelain voulait et ce qu'il allait naturellement obtenir, c'était de voir de quelle façon se comportait Chloé dans cette position contre-nature de Domination, enfin c’est ce que je conclus. Et ce feu qui gagnait mon fessier ainsi que le haut de mes cuisses pouvait témoigner qu'elle apprenait vite et malheureusement pour moi, qu'elle y prenait visiblement goût. La séance dura ainsi, jusqu'à ce que Monsieur le Marquis fut pleinement satisfait de la façon dont Sa nouvelle conquête maniait le paddle. Et surtout qu’elle affirmait ainsi qu'elle avait un fort caractère qu'Il aurait donc plaisir à faire courber devant Son autorité supérieure... Enfin satisfait, Il mit fin à la séance et s'approcha de Chloé, qui transpirait un peu. Glissant à nouveau Sa main possessive dans la fine culotte, allant chercher une humidité qu’Il trouva d’emblée et sans du tout s’en étonner, Il constata :

- Mais tu mouilles, et abondamment même !... Je vois que tu as aimé ça. C'est bien ! Mais maintenant il est temps que tu retrouves la véritable place de ta véritable Nature, celle qui te convient à Mes côtés. Mais d'abord... enlève cette culotte souillée et vas la mettre dans la bouche de Mon esclave, qu'il puisse ainsi savourer ce que tu as ressenti en le flagellant. Ce sera sa récompense pour avoir su demeurer immobile et silencieux dans l'épreuve, comme je lui ai appris et dressé...

Le Maître avait enlevé le mors qui contraignait ma bouche et c'est la voisine qui y introduisit sa culotte souillée. Et je demeurai ainsi, la bouche emplie des sucs intimes de la belle et la croupe encore brûlante des coups qui à n'en pas douter avait rougi, voire bleui mes fesses... En quittant la pièce, j'entendis le Maître...

- Qu'il se repose un peu, nous reviendrons tout à l'heure le détacher et le mettre dans sa cage. Car une longue soirée nous attend à l'extérieur... Mais avant, il est juste que Je t'accorde enfin ce que tu désires, Je vais te prendre et marquer ainsi Ma Possession par ta jouissance...

(A suivre …)

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